30 septembre 2018
Prisonnière des mollah : "Avant de la connaître, je n'avais jamais pensé que ma langue natale était particulière..."
C'est à Mme Mohammadi, mon professeur de littérature, que je dois l'amour de ma langue. Avant de la connaître, je n'avais jamais pensé que ma langue natale était particulière. Je la parlais, c'est vrai, et elle me permettait d'aller de A vers B par des...