Au sommaire du magazine "Un Œil sur la planète" Présenté par Samah Soula.
De retour ce jeudi 18 février, à 22h40 sur France 2, le magazine Un œil sur la planète est désormais présenté par Samah Soula, reporter et correspondante pour la chaîne depuis plus de dix ans. Présentations.
J'étais critique sur son émission d'hier soir sur la Syrie. J'ai quand même regardé et j'ai été agréablement surprise. C'est la seule émission occidentale sans parti prit qui a montré le vrai visage de ce conflit. Elle a confirmé ce dont on se doutait, mais que personne n'osait dire. Bravo à cette journaliste.
Un Œil sur la planète. Syrie : le grand aveuglement
Tout a commencé au début 2011, quand des Syriens ont commencé à descendre dans la rue. Le pouvoir central a rapidement réprimé ce vent nouveau qui s'était levé quelques mois plus tôt en Tunisie ou en Egypte, avant de souffler un temps sur la Libye, Bahrein, le Yémen… Selon les pays, le Printemps arabe a "dégagé" des dictateurs, fait chuter des régimes, obtenu des réformes…
Damas a fait tirer sur la foule, a bombardé des positions rebelles, rasé des quartiers, enlevé et torturé des opposants… Le régime baasiste, condamné par de nombreux pays dans le monde pour ses exactions, a tout fait pour se maintenir au pouvoir et défendre ses intérêts économiques.
Cinq années de chaos
En cinq ans, la guerre civile a fait plusieurs centaines de milliers de morts. Avec huit millions de déplacés dans le pays et quatre millions de réfugiés à l’étranger, c'est un Syrien sur deux qui a dû quitter l'endroit où il vivait. L'organisation Etat islamique a bénéficié du désordre intérieur, terrorisé des populations, appliqué la charia, trafiqué le pétrole et porté la violence terroriste au-delà même des frontières syriennes.
Ce 52e numéro du magazine "Un Œil sur la planète" (Facebook, Twitter, #UOSLP) diffusé sur France 2, désormais présenté par Samah Soula, grand reporter à la rédaction de France 2, décrypte ces cinq années de chaos. La Syrie est désormais un champ de bataille impliquant de grandes puissances, avec de gros enjeux énergétiques sous-jacents…
La passion du jihad
Les civils syriens fuient les combats autant que la charia appliquée dans les zones contrôlées par les islamistes. Les deux tiers de la population syrienne ont choisi de vivre dans les régions contrôlées par Damas. Le magazine "Un Œil sur la planète", en immersion au sein d’un groupe islamiste armé dans la région, en a fait le constat. Un reportage de Yacine Benrabia, Samah Soula et Marie Drouet.
L'engrenage infernal
Manifestations réprimées dans le sang par le régime de Bachar Al-Assad, exactions de masse commises par l'organisation Etat islamique, bombardements de la coalition internationale… Depuis la révolte populaire de 2011, comment la Syrie est-elle devenue le théâtre d'un conflit aux enjeux devenus mondiaux ? Un reportage de Frédéric Crotta, Mathieu Niewenglowski, Bruno Girodon et Gérard Lemoine.
Les dessous d'un conflit
La Syrie occupe une place stratégique sur la route de l’énergie. Et quand il y a du gaz et du pétrole, les tensions locales s'exacerbent et les appétits extérieurs s'aiguisent pour se disputer ces sources de profit. Voila pourquoi tant d'acteurs puissants sont impliqués dans le conflit à l'œuvre dans le pays depuis cinq ans. Un reportage d'Estelle Youssouffa, Jean-Marie Lequertier et Anne Cohen.
La vie et rien d'autre
Depuis cinq ans, une partie de la population syrienne endure la répression du pouvoir de Bachar Al-Assad quand une autre vit sous le joug de l'organisation Etat islamique appliquant la charia… Aux quatre coins de cette Syrie qui occupe la une des médias depuis 2011, la vie continue pourtant, vaille que vaille… Un reportage de Franck Genauzeau, Giona Messina.
Tout a commencé au début 2011, quand des Syriens ont commencé à descendre dans la rue. Le pouvoir central a rapidement réprimé ce vent nouveau qui s'était levé quelques mois plus tôt en Tunisie ou en Egypte, avant de souffler un temps sur la Libye, Bahrein, le Yémen… Selon les pays, le Printemps arabe a "dégagé" des dictateurs, fait chuter des régimes, obtenu des réformes…
Damas a fait tirer sur la foule, a bombardé des positions rebelles, rasé des quartiers, enlevé et torturé des opposants… Le régime baasiste, condamné par de nombreux pays dans le monde pour ses exactions, a tout fait pour se maintenir au pouvoir et défendre ses intérêts économiques.
Cinq années de chaos
En cinq ans, la guerre civile a fait plusieurs centaines de milliers de morts. Avec huit millions de déplacés dans le pays et quatre millions de réfugiés à l’étranger, c'est un Syrien sur deux qui a dû quitter l'endroit où il vivait. L'organisation Etat islamique a bénéficié du désordre intérieur, terrorisé des populations, appliqué la charia, trafiqué le pétrole et porté la violence terroriste au-delà même des frontières syriennes.
Ce 52e numéro du magazine "Un Œil sur la planète" (Facebook, Twitter, #UOSLP) diffusé sur France 2, désormais présenté par Samah Soula, grand reporter à la rédaction de France 2, décrypte ces cinq années de chaos. La Syrie est désormais un champ de bataille impliquant de grandes puissances, avec de gros enjeux énergétiques sous-jacents…
Au sommaire du magazine "Un Œil sur la planète"
La passion du jihad
Les civils syriens fuient les combats autant que la charia appliquée dans les zones contrôlées par les islamistes. Les deux tiers de la population syrienne ont choisi de vivre dans les régions contrôlées par Damas. Le magazine "Un Œil sur la planète", en immersion au sein d’un groupe islamiste armé dans la région, en a fait le constat. Un reportage de Yacine Benrabia, Samah Soula et Marie Drouet.
L'engrenage infernal
Manifestations réprimées dans le sang par le régime de Bachar Al-Assad, exactions de masse commises par l'organisation Etat islamique, bombardements de la coalition internationale… Depuis la révolte populaire de 2011, comment la Syrie est-elle devenue le théâtre d'un conflit aux enjeux devenus mondiaux ? Un reportage de Frédéric Crotta, Mathieu Niewenglowski, Bruno Girodon et Gérard Lemoine.
Les dessous d'un conflit
La Syrie occupe une place stratégique sur la route de l’énergie. Et quand il y a du gaz et du pétrole, les tensions locales s'exacerbent et les appétits extérieurs s'aiguisent pour se disputer ces sources de profit. Voila pourquoi tant d'acteurs puissants sont impliqués dans le conflit à l'œuvre dans le pays depuis cinq ans. Un reportage d'Estelle Youssouffa, Jean-Marie Lequertier et Anne Cohen.
La vie et rien d'autre
Depuis cinq ans, une partie de la population syrienne endure la répression du pouvoir de Bachar Al-Assad quand une autre vit sous le joug de l'organisation Etat islamique appliquant la charia… Aux quatre coins de cette Syrie qui occupe la une des médias depuis 2011, la vie continue pourtant, vaille que vaille… Un reportage de Franck Genauzeau, Giona Messina.
Eric Chevallier, l'ambassadeur de France en poste à Damas au début des événements syriens, est convaincu de la solidité du régime, mais on ne voudra pas l'entendre au ministère français des Affaires étrangères.
"Il y a eu cette fameuse réunion en juillet 2011 où Eric Chevallier, ambassadeur de France à Damas, est convoqué littéralement au Quai d'Orsay", rappelle Georges Malbrunot, grand reporter au quotidien Le Figaro.
"La ligne est que Bachar doit tomber"
Selon le coauteur, avec Christian Chesnot, du livre Les Chemins de Damas (éd. Robert Laffont) "arrive Nicolas Galey, le conseiller diplomatique de Nicolas Sarkozy, pour lui imposer une ligne qui est que Bachar va tomber, Bachar doit tomber."
"Il y a quasiment un pugilat verbal et Eric Chevallier se défend. Il dit : 'Je vois sur le terrain des gens qui manifestent, mais aussi des gens qui sont inquiets, comme les minorités chrétienne, druze, alaouite… Arrêtez de dire que ce régime va tomber, car il ne va pas tomber'…", rapporte Georges Malbrunot.
Extrait du magazine "Un Œil sur la planète" du 18 février.
Syrie: la France bombarde des enfants